Faure Gnassingbé -Togo 2020

Faure Gnassingbé

Je suis déterminé à imprimer un nouvel élan à la conduite et à la marche du Togo

Faure Gnassingbé

Ensemble pour poursuivre la construction d’un Togo stable, prospère et harmonieux.

Faure Essozimna Gnassingbé, son bilan en actions :

En tant que Président ayant oeuvré inlassablement pour l’essor et le développement du Togo, SEM Faure Gnassingbé est également un fin diplomate dont les qualités de discrétion et de médiation sont reconnues sur le continent africain doublées de capacités en gestion et en économie que l’on peut qualifier de précieuses.

Résultats ? Un bilan très positif après 3 mandats présidentiels qui laissent forcément l’espoir de continuer ces actions lors d’un 4ème mandat à valider dès février 2020.

Initiative PPTE (Pays Pauvre Très Endetté) :

Lors de la sa première élection en 2005, le jeune Président doit faire face à une situation économique et sociale préoccupante. Cette situation est dûe à l’instabilité du pays des années 80. Cependant, loin d’abandonner, le gouvernement dirigé par SEM Gnassingbé se retrousse les manches et se met au travail. Dès 2006, le Togo entre dans l’initiative PPTE qui est une action conjointe du FMI et de la Banque Mondiale pour aider les pays face à un niveau d’endettement insoutenable. Les réformes nécessaires et salvatrices sont rapidement mises en oeuvre en novembre 2006 permettant, au terme d’un premier programme de 9 mois, d’obtenir un nouveau programme financier sur 3 ans.

Ceci permet, en 2007 d’obtenir un allègement de la dette de 282 millions de dollars pour finalement aboutir, le 14 décembre 2010 au terme, ou point d’achèvement, de la procédure PPTE. Le Togo devient, en 2010, le 25ème pays (seulement) à avoir atteint ce point qui est une des conséquences de la politique économique ambitieuse et volontariste mise en place.

Depuis, une dette maîtrisée :

Avec un taux de 76% en 2017 et des prévisions du FMI de 66% en 2020, le Togo se présente comme un des pays de l’Uemoa le moins exposé à la dette et un des seuls à satisfaire aux exigences de l’Uemoa (norme communautaire établie à 70%). Cette bonne gouvernance a, une fois de plus, été réaffirmée par le Président lors de son discours de présentation du Rapport Doing Business 2020 :

« Aujourd’hui le poste le plus élevé dans notre budget, c’est le remboursement de la dette.
Vous avez une dette, vous devez rembourser.

J’aurai préféré que ce soit l’éducation, l’agriculture ou la santé.
Mais la réalité à laquelle je suis confronté, c’est que je veux rembourser la dette. »

Diminution de la Pauvreté :

Si aujourd’hui la Ministre du Développement à la Base (Madame Victoire Tomégah-Dogbé) est aussi directrice de cabinet du Président de la République Togolaise, ce n’est pas pour rien. Faure Gnassingbé est très attaché à l’amélioration des conditions sociales des togolais. Car que deviendrait le progrès économique sans progrès social ?

Les initiatives se sont donc multipliées : Programme d’Appui au Développement à la Base (PRADEB), Programme de développement communautaire en zones urbaines (PDC-ZU), Programme de Soutien aux Microprojets Communautaires (PSMICO), Projet emploi des jeunes vulnérables (PEJV), Projet de développement communautaire et des filets sociaux (PDCPlus / SCAPE), Projet Filets Sociaux et Services de Base (FSB), Projet de Soutien aux Activités Economiques des Groupements (PSAEG), Projet d’Appui à l’Employabilité et à l’Insertion des Jeunes dans les Secteurs Porteurs (PAEIJ-SP) mais aussi les cantines scolaires et les cantines communautaires ont permis de faire baisser drastiquement et de manière durable le taux de pauvreté au Togo.

 

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2006

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2011

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2015

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2018

Des efforts particuliers sur l’électrification du Togo :

Le développement des nations est toujours passé par la maîtrise grandissante des énergies. Si le charbon a permis l’industrialisation de l’Europe lors de la première Révolution Industrielle des XVIIème et XIXème siècles ; l’électricité a permis, elle, la seconde Révolution Industrielle du XXème siècle.
Il était plus que nécessaire d’engager ce processus au Togo, essentiellement dans les régions reculées avec un double objectif :

  • social : pour améliorer le bien-être de la population togolaise sur les questions sanitaires mais aussi sur les question d’éducation
  • économique : pour permettre le développement d’industries liées à l’agriculture (transformations, manufactures), secteur prédominant du monde rural

L’avenir s’avère radieux dans ce secteur grâce à des réformes courageuses, et des partenariats d’importance pour la promotion du pays permettant l’arrivée d’investisseurs pour financer des projets tels que : une nouvelle centrale thermique gaz vapeur de 65MW (centrale kékéli de Lomé / montant de 64 milliards FCFA), une centrale solaire de 50MW (centrale de Blitta / montant de 21 milliards FCFA), un projet national et innovant d’électrification (projet CIZO / montant 975 000 $). Les objectifs réalistes permettent d’envisager une couverture totale en électricité à partir de 2030.

 

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2008

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2016

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2018

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2030

Un miracle économique togolais qui fait des envieux :

Après de très bons résultats suite à la mise en place d’une Stratégie de Croissance Accélérée et de l’Emploi (SCAPE) entre 2013 et 2017, le gouvernement met en place une cellule dédiée à l’amélioration du climat économique : la Cellule Climat des Affaires, tout en lançant un judicieux programme quinquennal (2018-2022) de réformes : le Plan National de Développement.

En lien direct avec Faure Gnassingbé, deux collaborateurs précieux (Kanka-Malik Natchaba, chargé de la coordination d’Exécution et de Suivi / Sandra Ablamba Johnson, Ministre déléguée conseillère du Président en charge du Climat des Affaires) vont tout mettre en oeuvre pour amener le Togo à un niveau de performance jamais égalé auparavant.

On peut dire que le pari est réussi haut la main en effectuant un bond significatif dans le classement de la banque mondiale Doing Business sur 2 années consécutives (+19 places au classement 2019 et +40 places au classement 2020). Mieux que ça, le pays est classé meilleur pays réformateur en Afrique et 3ème meilleur pays réformateur au monde !

Alors que tout le monde se pose la question de la recette secrète du miracle économique togolais, les ingrédients sont simples : travail, ténacité et désir de bien faire. Au delà d’un Président, c’est tout un gouvernement et même toute une administration qui a mis les bouchées doubles pour l’intérêt de la patrie.

Citons entre autre : réduction du délai de création d’entreprise avec la coopération des Centres de Formalités des Entreprises ramenant à 7h seulement le temps nécessaire à l’établissement d’une société ! La possibilité de créer une SARL sans obligation de passer chez un notaire, la possibilité de fixer librement, entre associés, le capital social et la valeur des parts sociales, la suppression des droits d’enregistrements et des timbres, la possibilité de créer sa structure sur une plateforme digitale avec paiement en ligne, l’instauration de tribunaux de commerce efficaces avec des procédures de résolution des litiges accélérées, transformation numérique des permis de construire, réduction des délais et procédures, réduction des frais de raccordement au réseau électrique, …

Aujourd’hui, le Togo est en passe de devenir une plateforme économique et financière de premier ordre dans la région d’Afrique de l’Ouest. A ce sujet, l’ancien directeur du FMI disait que le Togo « pourrait être une sorte de Suisse, car il est de l’intérêt de tout le monde que le centre financier régional soit dans un petit pays, cela rassure ».

Et de nombreuses autres actions :

Diplomatie, Economie, Education, Social, SEM Faure Gnassingbé met les moyens humains et financiers pour laisser une empreinte positive sur l’histoire du Togo et qui dénote d’une réelle volonté d’aller de l’avant en se plaçant au delà des divisions ethniques, des tactiques politiciennes et des ambitions personnelles.

Cela lui permet de regarder avec lucidité l’histoire du pays et d’envisager de manière sereine son avenir. Parmi toutes ces actions on peut dénombrer : la Signature d’un Accord de Politique Global, la création d’une Haute Autorité de Réconciliation, la mise en place d’un processus d’indemnisation pour les victimes d’exactions, l’abolition de la peine de mort, la modification de la Constitution pour reconnaître l’opposition, la modification de la Constitution pour limiter le nombre de mandats présidentiels, l’interdiction du glyphosate…

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